Voici la TRISTE raison pour laquelle Lorie ne peut plus avoir d’enfant, « c’était devenu insupportable »

Les téléspectateurs retrouveront bientôt Lorie Pester sur le petit écran. La comédienne est notamment attendue sur le tournage à Sète pour camper un tout nouveau rôle dans Demain nous appartient, comme l’a dévoilé Télé-Loisirs. Comme Alexandra Naoum, l’interprète de Louise, la jeune femme va, cette fois-ci, devenir réalisatrice. Elle sera derrière la caméra pour la prochaine cession d’épisodes qui vont être tournés.

Ce n’est pas le seul projet qui a récemment animé la quadragénaire. Lorie Pester a également tourné, pour RMC Story, son premier documentaire baptisé Post partum, brisons le tabou. Produit par 17 juin média, il est décrit par la chaîne comme un programme « concernant, populaire et serviciel ». Un documentaire sur la maternité qui fait écho à la propre histoire de la chanteuse et que les téléspectateurs pourront découvrir dans quelques mois.

Une maladie qui affecte Lorie Pester depuis de nombreuses années

Lorie est la maman d’une petite fille baptisée Nina, née en 2020. Un nouveau rôle sur lequel la jeune femme a eu à cœur de se confier. Elle a notamment fait part de ses angoisses quotidiennes auprès de Télé 2 Semaines. « Si je n’ai pas ma fille dans mon champ de vision pendant deux secondes, c’est la panique totale. Je suis une mère inquiète. », a-t-elle reconnu. Avant d’ajouter : « Je travaille pour l’être de moins en moins, parce qu’il ne faut pas que ce sentiment pourrisse notre existence. »

La chanteuse a également pris la parole sur une maladie qui l’affecte depuis de nombreuses années et qui est étroitement liée à la maternité : l’endométriose. Dans une interview pour Télé-Loisirs parue le 27 avril dernier, elle a mis fin à toute spéculation sur une possible deuxième grossesse. « Je ne peux plus avoir un deuxième enfant à cause de l’endométriose. », a-t-elle confié sans détour.

Une lourde opération pour la soulager de ses douleurs

Lorie a également partagé davantage de précisions sur les conséquences de la maladie sur sa santé. « On m’a enlevé l’utérus, car j’avais trop de douleurs et c’était devenu insupportable. », a-t-elle notamment révélé. Répercussion de cette hystérectomie : impossible pour l’artiste de tomber à nouveau enceinte. Néanmoins, la maman de Nina se dit résiliente.

La comédienne se complaît parfaitement au sein de son cocon. « Ce n’est pas grave parce que, avec mon chéri, on a eu notre petite fille ensemble et lui, il a un fils de 11 ans. Donc à la maison, on a une fille et un garçon. C’est une petite tribu », a-t-elle affirmé. Avant de préciser : « Et puis je ne me voyais pas repartir avec des FIV (fécondation in vitro, ndlr). Ça a été quand même une épreuve. »

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Les confidences inédites de la chanteuse sur sa vie intime

La jeune maman s’épanouit désormais pleinement auprès de son partenaire, Yann Dernaucourt, et de sa fille. « On a eu notre fille, ça a été mon petit miracle et c’est super. », a-t-elle poursuivi. Son combat, Lorie en a fait une force pour sensibiliser sur l’endométriose. La chanteuse continue notamment à militer pour le droit des femmes à congeler leurs ovocytes.

Le 24 janvier 2019, dans l’émission Sept à Huit, elle évoquait notamment avoir envoyé une lettre au président de la République, Emmanuel Macron. « Je lui ai dit que j’étais déçue, que j’étais en colère. Je ne comprends pas pourquoi aujourd’hui, en 2019, une femme en France ne peut pas faire congeler ses ovocytes, sans justifier d’une maladie sévère. », avait-elle partagé. Un appel entendu avec la loi du 2 août 2021 relative à la bioéthique. La vitrification ovocytaire est désormais ouverte aux femmes de 29 à 37 ans, comme l’a rappelé Marie Claire.