Pierre Palmade accro à la drogue : cette autre addiction pour laquelle il dépensait des fortunes

mis à jour le 6 mars 2023 à 14:49
Pierre Palmade accro à la drogue : cette autre addiction pour laquelle il dépensait des fortunes
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Les témoignages des proches de Pierre Palmade continuent d’affluer. Les confidences de son ami Camille ont permis de lever le voile sur l’autre addiction de l’humoriste.

Voilà plusieurs semaines que Pierre Palmade est sous le feu des projecteurs. Le 10 février dernier, l’humoriste s’est retrouvé impliqué dans un tragique accident de la route. Bilan de la collision ? Quatre blessés graves, dont le comédien. Ce dernier est toujours hospitalisé. Il a notamment été victime d’un accident vasculaire cérébral survenu le 24 février dernier. Les médecins qui le prennent actuellement en charge décideront du moment où son état de santé sera compatible avec une incarcération.

Depuis le drame, les Français ont pu découvrir une facette sombre du comédien. Son passé a notamment été révélé au grand jour, sur fond de témoignages de la part de ses proches. Si son addiction à la drogue était déjà connue du grand public, certains pans de sa vie privée ont toutefois éclaté après l’accident. Une situation qui aurait poussé le principal concerné à reconnaître ses travers. En témoigne le discours qu’il aurait tenu auprès des enquêteurs.

« Je suis dangereux à cause de la drogue » : les confidences glaçantes de Pierre Palmade

« Je suis dangereux à cause de la drogue, je suis un chic type, je suis quelqu’un de bien. (…) Il faut que mon rapport avec la drogue soit résolu, que la drogue soit bannie de ma vie », aurait-il détaillé d’après les éléments rapportés par BFMTV. Il aurait également indiqué être sorti « de trois jours de consommation de stupéfiants sans dormir » quand a eu lieu l’accident. Toujours pour la chaîne d’information, un ami de l’artiste qui était présent quelques heures avant l’accident a levé le voile sur ses addictions

Il a ainsi confié qu’ensemble, ils se « sont déjà piqués mutuellement », au point « d’en faire des overdoses et lui aussi ». « J’aurais préféré ne jamais avoir connu ce genre de choses. C’est très difficile d’en sortir », a poursuivi Camille, qui est déjà passé par une cure de désintoxication. Cette drogue injectée serait la 3-MMC, notamment réputée pour son usage lors de soirées « chemsex ». Une pratique à laquelle Pierre Palmade se serait soumis à plusieurs reprises.

Des soirées « chemsex » auxquelles Pierre Palmade aurait pris part

Auprès de la police, Pierre Palmade aurait également avoué une autre addiction, qui ne touche, cette fois-ci, pas uniquement à la drogue. Des éléments corroborés par le témoignage de Camille. Il s’est ainsi confié à Bruce Toussaint sur sa rencontre avec l’humoriste de 54 ans et leurs habitudes sous drogue et sexe. L’homme a d’abord reconnu que leur relation avait été rémunérée.

Le proche de l’humoriste a également détaillé le déroulé de ce type de soirée. Des commandes de drogues étaient passées auprès de vendeurs afin que la substance leur « ouvre les portes de l’esprit ». L’objectif ? Réaliser leurs fantasmes, comme « dévaliser des sex-shops ». Une possibilité offerte par Pierre Palmade, qui leur donnait carte blanche. Autre élément inhérent à ces événements : les jeux de rôles avec des scénarios « excitant, pervers ». Les personnes prenant part à ces fêtes étaient nombreuses, entraînant parfois des « partouzes ».

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Des relations sexuelles rémunérées

Camille a levé le voile sur une autre pratique à laquelle Pierre Palmade se serait adonné. Dans les colonnes de Paris Match ce jeudi 23 février, une longue enquête s’est intéressée au milieu des escort boys à Paris. Une prostitution masculine particulièrement présente sur les applications de rencontres dont Pierre Palmade serait un fervent utilisateur. Un témoin resté anonyme aurait notamment rapporté que « Palmade proposait 100 euros à n’importe qui ». Selon nos confrères, « le comédien passait de longues heures » sur cette application pour y trouver ses compagnons pour la nuit.

Quand Pierre Palmade sera apte à sortir de l’hôpital, une nouvelle évaluation sera menée par l’équipe médicale pour déterminer s’il peut aller en détention ordinaire. La question d’un établissement spécialisé pourrait notamment se poser, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier. L’incarcération devrait probablement avoir lieu dans une « unité de protection » de la prison de Fresnes, a expliqué l’ancien directeur de la prison de Fresnes Joaquim Pueyo, ce mardi 28 février au micro de RTL. Ce dernier a ajouté que le choix sera fait « de façon à ce qu’il soit mieux surveillé, à ce qu’il soit seul en cellule et à l’écart du reste de la population pénale pour sa propre sécurité. »


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Marie France, magazine féminin