Christine Bravo : pourquoi elle souhaite déterrer son père, « je vais aller le déboulonner ! »

mis à jour le samedi 3 septembre 2022
Christine Bravo : pourquoi elle souhaite déterrer son père, « je vais aller le déboulonner ! »
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Connue et reconnue pour son franc parler à toute épreuve, Christine Bravo n’évoque pourtant que rarement ses parents. Et pour cause, l’animatrice a encore du mal à accepter la mort de son père, qu’elle souhaite déterrer.

Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. En avril 2010, Christine Bravo perdait son père, Antonio Bravo, des suites d’un cancer. Un véritable drame pour l’acolyte de Laurent Ruquier qui fait depuis lors un « blocage ».

« Je ne veux ni savoir le mois ni l’année, expliquait-elle à ce titre à Jordan de Luxe en mars 2021. C’est mon héros, l’homme de ma vie ». Anéantie par sa disparition, l’animatrice n’a pas pu se résoudre à voir son corps avant son inhumation.

Christine Bravo : sa dernière promesse à son père mourant

Depuis, elle ne s’est jamais d’ailleurs rendue sur sa tombe. Il faut dire que Christine Bravo est encore très remontée car les dernières volontés de son père n’ont selon elle pas été respectées. Mais la sociétaire des Grosses Têtes entend bien y remédier !

« Je ne suis pas contente avec ça, parce que mon père m’avait demandé que ses cendres soient répandues en Auvergne, dans la ferme où il avait été pendant la Résistance, après les camps de concentration », avait-elle expliqué.

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« Je ne vois pas ce qu’il fait là-bas (…) Je vais aller le déboulonner ! »

Et de préciser : « Je lui ai promis, mais il n’y avait rien à faire. Ils l’ont mis dans une boîte et ils l’ont emmené dans un bled… » Une situation insupportable pour Christine Bravo, déterminée à tenir sa promesse.

« Je ne vois pas ce qu’il fait là-bas (…) Je vais aller le déboulonner !, avait-elle assuré. Je vais y aller et remettre ça en Auvergne. Il paraît qu’il y a une plaque, je m’en fous, je vais y aller, et je vais le mettre en Auvergne ! »

Consciente des risques que comporte une telle entreprise, Christine Bravo n’en a que faire. « Il paraît qu’on n’a pas le droit, mais vous savez, il n’y a pas écrit ‘elle ne fait que ce qui est autorisé’ », avait-elle conclu avec humour.


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Marie France, magazine féminin